Comme le veut la tradition, son premier geste officiel a été de déposer une gerbe de fleurs au pied de la plaque en hommage au préfet Erignac au sein de la préfecture, puis une seconde au monument aux morts place Campinchi.
Franck Robine tiendra la feuille de route fixée par le gouvernement et tient à s’insérer dans la continuité de son prédécesseur tout en instaurant le dialogue avec les corses.
L’une de ses priorités sera de rencontrer un maximum d’interlocuteurs pour pouvoir s’axer sur ce qui est prioritaire. Ce dernier s’est fixé comme ligne de recevoir tout ceux qui le demandent. Ayant conscience que ce poste est exigeant, pour Monsieur Robine la mission d’un préfet « n’est pas d’appliquer les textes bêtement, mais c’est bien d’être au contact des gens en ayant en tête que le contrôle de légalité c’est l’un des aspect du respect de l’Etat ».
Ce dernier désire répondre aux préoccupations quotidiennes de tous les corses et souhaite répondre à un grand nombre de problématiques comme par exemple la crise des déchets ou les problèmes de transports, tout en appliquant la politique gouvernementale.
L’un de ses premiers rendez-vous se tiendra mardi 4 février avec la déléguée régional aux droits des femmes. Il dit vouloir s’engager et croire beaucoup en la cause des femmes : « ici comme ailleurs s’opère un changement culturel sur le harcèlement, ce qui est une bonne chose, je pense que l’on peut faire changer les mentalités à travers ce levier là ».
Franck Robine tiendra la feuille de route fixée par le gouvernement et tient à s’insérer dans la continuité de son prédécesseur tout en instaurant le dialogue avec les corses.
L’une de ses priorités sera de rencontrer un maximum d’interlocuteurs pour pouvoir s’axer sur ce qui est prioritaire. Ce dernier s’est fixé comme ligne de recevoir tout ceux qui le demandent. Ayant conscience que ce poste est exigeant, pour Monsieur Robine la mission d’un préfet « n’est pas d’appliquer les textes bêtement, mais c’est bien d’être au contact des gens en ayant en tête que le contrôle de légalité c’est l’un des aspect du respect de l’Etat ».
Ce dernier désire répondre aux préoccupations quotidiennes de tous les corses et souhaite répondre à un grand nombre de problématiques comme par exemple la crise des déchets ou les problèmes de transports, tout en appliquant la politique gouvernementale.
L’un de ses premiers rendez-vous se tiendra mardi 4 février avec la déléguée régional aux droits des femmes. Il dit vouloir s’engager et croire beaucoup en la cause des femmes : « ici comme ailleurs s’opère un changement culturel sur le harcèlement, ce qui est une bonne chose, je pense que l’on peut faire changer les mentalités à travers ce levier là ».